Is-RishSköll

Ah bah voilà, tu me causes de blasphème sacrilège à la Guinness, fallait pas me chauffer ! Allez, installe-toi pépère, j’te raconte la légende d’un e-liquide aussi frais que le regard d’une Valkyrie déçue :

Is-RishSköll – L’Irish Coffee qui a pris un coup de froid… et un coup dans l’aile

Dans un recoin paumé d’une taverne suintante de Galway – entre deux prières à Saint Patrick et trois jurons à Odin – Seamus O’Malley, descendant direct (et dégénéré) de la grande pirate Grace O’Malley, dégoulinait comme un saumon dans une poêle trop chaude. Le bar ? Une étuve. La météo ? Une anomalie climatique à vous faire suer du kilt.

Seamus, le front luisant comme une armure de joute, regarde son traditionnel Irish Coffee. La crème le regarde. Le whisky le supplie. Et là, dans un acte de folie douce, entre l’hérésie et le coup de génie : il balance des glaçons dans le saint breuvage.
PLOUF.
Le bar se fige.
Une vielle bigote se fait le signe de croix avec une chope.
Un moine tombe raide, emporté par le choc thermique.

Mais Seamus, lui, tire une gorgée… et là, c’est la transe divine. C’est doux, corsé, crémeux, glacé comme les coucougnettes d’un troll des glaces. Une révélation. Le truc que t’oses pas raconter à ta mère, mais que tu recommences en cachette.

Et alors qu’il pensait savourer ça tranquille, paf, débarque le Jarl Oliven, fraîchement échoué sur la côte Ouest avec son drakkar plein de tonnelets et d’idées fumeuses. Il goûte, il grimace… puis il éructe un « Par la barbe d’Andhrímnir, c’est pas du café, c’est une potion magique pour les jours où même les cornes des casques fondent au soleil ! »

Il le baptise aussitôt, dans un élan de vikingo-celtique flamboyant : Is-RishSköll.

☕ C’est un Irish Coffee frappé. Un doux mélange de café viril, de whisky charpenté et de crème coquine.
❄️ Servi on the rock, avec autant de classe que d’insolence.
🔥 Le genre de truc qui te réveille le matin, te rafraîchit à midi, et t’endort le soir… si t’as pas eu peur du glaçon.

Depuis, on le vape en cachette des puristes, mais avec la bénédiction d’Odin et un clin d’œil de Saint Patrick.

Is-RishSköll : le plaisir interdit… glacé, frappé, et légèrement toqué.