kókossteinn

KÓKOSSTEINN
La douceur viking qui sent bon le Fjord, la noix de coco et la nostalgie des tropiques.

On raconte qu’un jour, le Jarl Oliven — celui-là même qu’on surnomme le fouettard du fjord pour sa manière de battre la pâte avec autant d’ardeur qu’il en met à battre les Saxons — décida de prendre la mer direction les Antilles.
Là-bas, entre deux accras et une bagarre de taverne avec un certain capitaine Rhumbeard, il fit la rencontre d’une douceur diabolique : le rocher coco. Une petite bouchée dorée, croustillante dehors, fondante dedans, et parfumée comme un baiser sous les cocotiers.

Le Jarl, séduit jusqu’à la barbe, en ramena quelques-uns dans son coffre — du moins, ce qu’il en restait après la traversée. Il en tomba raide dingue. Mais comme tout bon viking, il ne pouvait pas s’empêcher d’y mettre sa patte, voire son marteau.
De retour à Sköllheim, il remplaça les blancs d’œufs montés en neige par sa fameuse recette de madeleine au cœur tendre, celle qu’il avait déjà utilisée pour amadouer Freya elle-même un soir d’orage.

Il enfourna le tout dans un vieux four à bois, le même qui servait autrefois à brûler les lettres d’amour des walkyries infidèles, et la magie opéra : un parfum de paradis sur fond de pin nordique, une bouchée dorée qui aurait fait pleurer un troll d’émotion.

Même la vieille cougar grise de l’Ouest — celle qui jadis avait tenté de lui vendre du rhum coupé à l’eau bénite — en aurait laissé tomber sa dent en or.
Et c’est ainsi qu’à la taverne des Skölliques, un soir de grand froid, naquit le Kókossteinn, le rocher qui fit fondre les cœurs et les barbes.

🥥🔥 Et dans ta vape ?
Un e-liquide doré comme le soleil des Antilles, moelleux comme une madeleine sortie du four, et saupoudré de coco râpée juste ce qu’il faut pour chatouiller la moustache du Jarl.
Une douceur qui frappe fort, caresse longtemps, et laisse derrière elle un goût de paradis… légèrement beurré.

KÓKOSSTEINN
Le seul rocher que même Odin n’a pas osé lancer.
Signé SköllVaping — les fous du fjord… mais des fous qui savent ce qu’ils font.