
Ah, Le Bänni, ce doux mélange de bravoure, de gourmandise et d’un soupçon d’exil bien mérité.
L’histoire commence en 930, au cœur d’un thing islandais aussi animé qu’une soirée au SköllDrak après une tournée d’hydromel. Oliven, guerrier robuste mais un brin trop prompt à planter sa hache là où il ne fallait pas, se fait bannir par 35 des 36 chefs du clan des Wasard. Le dernier vote en sa faveur ? Probablement un cousin éloigné avec un faible pour les histoires bien salées. Bref, le voilà sur la route, le cœur lourd et les valises légères.
C’est là qu’il croise Mac Aaron, un drôle de bonhomme à l’accent indéchiffrable et aux mignardises divines. Mac Aaron, dans un élan de générosité (ou peut-être après un coup de pression discret), lui livre le secret de ses fameux macarons. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, non ! Sur la route de Russie, Oliven tombe sur Gérard, un marchand aussi célèbre pour ses framboises bien juteuses que pour sa capacité à conter fleurette à tout ce qui bouge.
Inspiré par cette rencontre – et peut-être par une nuit passée à « négocier » avec l’une des belles du village – Oliven décide de sublimer ses macarons avec ces baies rouges éclatantes. Un délice sucré-acidulé qui fera tourner la tête des dieux comme des mortels. Depuis, Le Bänni est devenu l’allié parfait des soirées endiablées : une ganache si onctueuse qu’elle ferait rougir une valkyrie, et un fourrage à la framboise qui vous donne envie de tomber l’armure. À consommer sans modération… ou presque.






jeremy.fouquet037 (client confirmé) –
Réussite totale de retransmission de goût du macaron !