YÓL

YÓL – La Gaufre des Dieux (et des Gaillards Gourmands)

Ah, le YÓL… Rien que le nom, ça sent déjà le banquet de Jarl, la barbe pleine de miettes et les ceintures qui lâchent un cran après le festin. Parce qu’il faut bien se l’avouer : quand un Viking se met à la pâtisserie, ça donne pas des petits fours pour demoiselles en corset, mais un monstre de gourmandise qui t’envoie direct au Valhalla du goût.

L’histoire commence lors du grand festin de Yule, cette beuverie hivernale où même Odin se permet une petite cuite en douce. Ce soir-là, Oliven, entre deux concours de rots et un bras de fer avec un troll, tombe sur un drôle de guerrier : VidaZl Xz le Gras, un colosse aussi large qu’un drakkar et aussi fin gourmet qu’un Jarl en manque de plaisirs sucrés.

— « Tu sais ce qu’il manque à cette beuverie ? » grogne VidaZl Xz la barbe dégoulinante de miel.
— « Un autre tonneau d’hydromel ? » ricane Thór en essuyant sa chope.
— « Non, une douceur à la hauteur d’un guerrier ! Un truc qui colle aux doigts comme une Walkyrie jalouse et qui te fait rugir de plaisir comme un berserker en rut ! »

Ni une, ni deux, VidaZl Xz s’enferme dans sa chaumière et commence à mélanger tout ce qui lui tombe sous la main : une gaufre moelleuse comme un coussin de Walkyrie, des noix de pécan pillées chez les Francs, et un caramel au beurre salé tellement onctueux qu’on en oublierait même une hache plantée dans la cuisse.

Le résultat ? Un truc qui fait frémir les bougres et rougir les bougresses. Un machin tellement indécent qu’un seul croc suffit à faire fondre le plus endurci des guerriers. Le YÓL était né, une douceur à la fois croquante et fondante, avec ce petit goût de revenez-y qui ferait pactiser un troll avec une elfe.

Alors, prêt à plonger dans cette vape légendaire ? Comme disait VidaZl Xz en s’essuyant la bouche :
— « Si le paradis n’a pas cette recette, alors moi, j’reste en enfer. » 🔥🥞🥜